→ Si j'étais un animal : puma
→ Si j'étais une plante : cattleya (une grande fleur blanche isolée et très parfumée, de type orchidée, originaire des forêts tropicales (Amérique centrale et sud))
→ Si j'étais une merveille : le temple d’Artémis
→ Si j'étais une couleur : ambre

→ “Bloody hell...” : Le premier panorama d’Oblivion m’a donné la nausée. Pas de béton, pas de ponts, pas de goudron, ni de ciment et encore moins de buildings. Rien. Que de la boue, des papillons, des feuilles et tout ce qui va avec. Sueurs froides. On est où ? Autre monde ? Autre temps ? Univers parallèle ? Non. Non. Non. Non. Non. Je suis une citadine dans l’âme. Une ingénieure dans l’être. J’étudie la résistance de la terre ou du sable au poids d’un bâtiment. Je détermine la quantité de béton au nombre de tiges d’acier à mettre. Je calcule la résistance globale d’une halle industrielle construite uniquement avec des poutres en acier face au vent, à la neige ou aux charges qu’on peut lui appliquer. Les sciences sont ma foi. Et je me retrouve parachutée entre Bouddha, Gaïa et Shiva. C’est une blague, n’est-ce pas ? Il y a une caméra cachée quelque part ? I need a minute. Fesses à terre, yeux au fond de mes boots, tout ce à quoi je pense c’est : cigarette. Et dire que j’ai arrêté pour le café et que là, il n’y aura aucun des deux. Un regard hissé vers ce McAllister dont je ne sais rien et que j'ai suivi. Ça sent la merde à plein nez. Mais c’est toujours comme ça quand il s’agit des autres, right ? Il me paiera l’aventure au centuple. Et je ne fais jamais de promesse en l’air.